RIM + psychédéliques : un duo clé pour soigner autrement ?
Une méthode d’imagerie mentale pourrait renforcer ou prolonger les effets des psychédéliques. Quels scénarios sont envisagés aujourd’hui ?
Une méthode d’imagerie mentale pourrait renforcer ou prolonger les effets des psychédéliques. Quels scénarios sont envisagés aujourd’hui ?
La biosynthèse permet de produire des psychédéliques en laboratoire à partir de micro-organismes. Une avancée qui interroge les liens entre nature, thérapie et spiritualité et redéfinit ce que ces substances signifient dans un cadre médical ou symbolique.
Les psychédéliques modifient la structure du sommeil, en particulier les phases REM et profondes. Leurs effets varient selon les substances, influençant peut-être la consolidation thérapeutique après une prise encadrée.
MDMA, psilocybine, shiftabilité, socialité : de nouvelles recherches dessinent une approche personnalisée de l’autisme, entre neuroplasticité ciblée et participation éthique des personnes concernées.
Stimulation du BDNF, régulation des circuits thalamiques, réduction de l’anxiété… Les psychédéliques ouvrent des pistes concrètes pour traiter Parkinson et Alzheimer à la racine.
Les psychédéliques modifient les connexions cérébrales et stimulent la plasticité neuronale. Un aperçu clair des mécanismes qui pourraient expliquer leurs effets rapides et durables sur la santé mentale.
La psilocybine ne se contente pas d’altérer la perception : elle reconfigure notre cerveau en fonction du contexte. Cette plasticité cérébrale pourrait expliquer ses effets thérapeutiques. Découvrez comment notre environnement façonne l’expérience psychédélique et ses bénéfices potentiels en santé mentale.
Alors que la psilocybine suscite un intérêt croissant pour traiter le TOC, son intégration en psychiatrie pose des défis réglementaires et éthiques. Comment cette substance pourrait-elle révolutionner la prise en charge des troubles obsessionnels-compulsifs ?
Les psychédéliques, comme la MDMA ou l’ayahuasca, offrent une approche novatrice pour traiter les traumatismes intergénérationnels. Entre science et traditions, ils pourraient briser les cycles de souffrance héritée.
La psilocybine, administrée dans un cadre thérapeutique contrôlé, offre des bénéfices pour traiter la dépression et l’anxiété. Toutefois, les effets à long terme d’une consommation régulière restent mal compris, notamment en termes de neuroplasticité et de risques psychiques.