Cette étude explore les effets des psychédéliques classiques (LSD, psilocine, DMT et mescaline) sur les réponses immunitaires des lymphocytes T et des monocytes humains. Les résultats montrent que ces substances n’ont pas d’effet significatif sur la prolifération, la sécrétion de cytokines ou l’induction de NF-κB dans les cellules immunitaires étudiées.
Évaluer l’impact des psychédéliques classiques sur la prolifération des lymphocytes T et la sécrétion de cytokines, ainsi que sur l’induction de NF-κB dans les monocytes humains.
Les cellules mononucléaires du sang périphérique humain ont été isolées et traitées avec différentes concentrations de psychédéliques. Les effets sur la prolifération cellulaire, la sécrétion de cytokines et l’induction de NF-κB ont été évalués par cytométrie en flux.
- Aucun des psychédéliques testés n’a affecté significativement la prolifération des lymphocytes T.
- La sécrétion de cytokines (IL-2, TNF-α, CCL4) n’a pas été modifiée par les psychédéliques.
- L’induction de NF-κB dans les monocytes n’a pas été influencée par les psychédéliques.
Ces résultats soutiennent l’usage sûr des psychédéliques classiques en psychothérapie assistée pour les patients atteints de maladies graves sans compromettre les fonctions immunitaires.
La synthèse de cette publication académique peut présenter des erreurs. Envisagez de vérifier ses informations en consultant la publication complète.