Cette étude examine l’association entre l’utilisation passée de psychédéliques classiques (LSD, psilocybine et peyotl/mescaline) et les troubles de l’usage de substances (SUD). En utilisant les données de l’enquête NSDUH 2017, les chercheurs ont trouvé que l’utilisation passée de LSD et de psilocybine est associée à une probabilité accrue de dépendance ou d’abus de substances, tandis que l’utilisation de peyotl/mescaline est associée à une probabilité réduite de SUD.
Tester l’hypothèse que l’utilisation naturaliste de psychédéliques classiques est associée à une réduction de la prévalence des troubles de l’usage de substances.
Étude transversale utilisant les données de l’enquête NSDUH 2017. Les chercheurs ont calculé les rapports de cotes ajustés par régression logistique multivariée, en contrôlant pour des variables sociodémographiques et de santé mentale.
- L’utilisation passée de LSD et de psilocybine est associée à une probabilité accrue de SUD.
- L’utilisation de peyotl/mescaline est associée à une probabilité réduite de SUD.
- Aucun lien significatif n’a été trouvé entre l’utilisation de psychédéliques et la dépendance à la nicotine.
Les différences observées suggèrent que les contextes d’utilisation et les propriétés pharmacologiques spécifiques des psychédéliques peuvent influencer leur impact sur les troubles de l’usage de substances.
https://www.frontiersin.org/journals/psychiatry/articles/10.3389/fpsyt.2022.1066369/full
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