Une étude randomisée en crossover a été menée pour utiliser la cartographie de précision des réseaux cérébraux individuels et l’imagerie par résonance magnétique fonctionnelle (IRMf) répétée. Cette approche vise à améliorer le rapport signal/bruit et la taille de l’effet dans la recherche en imagerie cérébrale.
L’étude caractérise les effets aigus et persistants de la psilocybine ou du méthylphénidate (MTP) sur les réseaux cérébraux.
Sept volontaires en bonne santé ont subi une imagerie extensive avant, pendant et après l’exposition aux drogues. Quatre individus ont également participé à un protocole de réplication à label ouvert de PSIL six mois plus tard. Le jeu de données comprend des IRMf de repos, des IRMf de tâche, des imageries structurales et spectrales de diffusion, ainsi que des évaluations de l’expérience subjective.
Ce jeu de données unique est publié comme ressource pour les neuroscientifiques afin d’étudier les effets aigus et persistants de la PSIL et du MTP sur les réseaux cérébraux.
Caractériser les effets aigus et persistants de la psilocybine ou du méthylphénidate sur les réseaux cérébraux.
Fournir une ressource pour les neuroscientifiques afin d’étudier les effets aigus et persistants de la PSIL et du MTP sur les réseaux cérébraux.
Étude randomisée en cross-over utilisant une approche d’imagerie de précision pour caractériser les effets de la psilocybine et du méthylphénidate.
Sept volontaires en bonne santé ont subi une imagerie extensive avant, pendant et après l’exposition aux drogues.
Quatre individus ont participé à un protocole de réplication de PSIL six mois plus tard.
Le jeu de données comprend des IRMf de repos, des IRMf de tâche, des imageries structurales et spectrales de diffusion, ainsi que des évaluations de l’expérience subjective.
- La psilocybine a produit une désynchronisation dépendante du contexte de l’activité cérébrale, et les différences individuelles étaient fortement liées à l’expérience psychédélique subjective.
- Des diminutions persistantes des connexions entre l’hippocampe et le réseau en mode par défaut ont été observées jusqu’à trois semaines après, suggérant un corrélat neuroanatomique et mécanistique des effets à long terme de la PSIL.
- Les effets subjectifs et les événements indésirables ont été évalués, montrant des expériences mystiques significativement plus élevées avec la PSIL par rapport au MTP.
- La qualité et les métriques de signal pour le jeu de données PSIL PFM ont été évaluées, montrant des effets significatifs des conditions de drogue sur la fréquence cardiaque et la fréquence respiratoire.
- Les effets aigus et persistants de la psilocybine sur les réseaux cérébraux peuvent avoir des implications importantes pour le traitement de diverses conditions psychiatriques.
- La désynchronisation de l’activité cérébrale et les diminutions persistantes des connexions cérébrales spécifiques peuvent offrir des cibles thérapeutiques potentielles.
- Les expériences mystiques induites par la psilocybine peuvent jouer un rôle clé dans ses effets thérapeutiques, suggérant que l’expérience subjective est un médiateur important des bénéfices cliniques.
- Les changements dans la modularité des réseaux cérébraux et la puissance infraslow peuvent fournir des biomarqueurs pour surveiller les effets thérapeutiques et optimiser les protocoles de traitement.
La synthèse de cette publication académique peut présenter des erreurs. Envisagez de vérifier ses informations en consultant la publication complète.