Cette étude explore les effets de la psilocybine sur l’activité cérébrale au repos et la connectivité fonctionnelle (FC) chez les rats, en utilisant l’IRM fonctionnelle (IRMf) et l’immunofluorescence (IF) de l’EGR1, un gène précoce immédiat lié aux symptômes dépressifs. Dix minutes après l’injection de psilocybine hydrochloride (2,0 mg/kg, i.p.), des activités cérébrales positives ont été observées dans le cortex frontal, temporal et pariétal, l’hippocampe et le striatum. L’analyse de la FC a révélé une interconnectivité accrue de plusieurs régions, y compris le cortex cingulaire, le striatum dorsal et les régions limbiques. L’augmentation du niveau d’EGR1 dans le cerveau suggère une activation cohérente dans les régions corticales et striatales, indiquant un état hyperactif induit par la psilocybine chez les rats.
Explorer comment la psilocybine affecte l’activité cérébrale au repos et la connectivité fonctionnelle (FC) chez les rats.
Combinaison de l’IRM fonctionnelle (IRMf) et de l’immunofluorescence (IF) de l’EGR1 pour étudier les effets de la psilocybine sur l’activité cérébrale et la connectivité fonctionnelle chez les rats.
- Augmentation de l’activité cérébrale dans plusieurs régions corticales et striatales.
- Augmentation de l’interconnectivité des régions cérébrales, notamment le cortex cingulaire.
- Augmentation du niveau d’EGR1 indiquant une activation neuronale accrue.
Ces résultats sont importants pour comprendre les mécanismes neurobiologiques des psychédéliques et leur potentiel thérapeutique, notamment dans le traitement des troubles neuropsychiatriques.
https://www.frontiersin.org/journals/neuroscience/articles/10.3389/fnins.2023.1168911/full
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