Cette étude a formulé un modèle quantitatif de la modulation de l’espace perceptuel visuel sous l’effet d’agents neuromodulateurs induisant une hyperactivation ou une hypoactivation. Les auteurs ont utilisé la dynamique de la psilocybine et de la chlorpromazine dans le tissu cérébral pour valider leur modèle par des études comportementales indépendantes et des simulations sur un modèle de réseau de cellules de grille. Les résultats montrent que la perception visuo-spatiale est modifiée par l’activation du système nerveux autonome.
Modéliser quantitativement les modifications de la perception visuo-spatiale dues aux agents neuromodulateurs.
- Calcul de la dynamique des agents neuromodulateurs dans le cerveau.
- Validation par des études comportementales.
- Simulation sur un modèle de réseau de cellules de grille.
- Utilisation de la tractographie IRM de diffusion pour identifier les trajets neuronaux impliqués.
- La psilocybine et la chlorpromazine modifient la perception visuo-spatiale.
- Validation de la relation entre la concentration de neuromodulateurs et les altérations de la perception visuelle.
- Identification des corrélats neuronaux de ces modifications.
Ces résultats offrent une meilleure compréhension des mécanismes neurobiologiques sous-jacents aux psychédéliques et autres neuromodulateurs, pouvant mener à de nouvelles approches thérapeutiques pour les troubles neuropsychiatriques.
https://www.frontiersin.org/articles/10.3389/fncom.2023.1136985/full
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