Cette revue explore l’intégration de la pharmacogénomique (PGx) dans les thérapies assistées par les psychédéliques pour personnaliser les traitements et améliorer leur sécurité et efficacité. L’étude analyse l’impact des variations génétiques sur la pharmacodynamique et la pharmacocinétique de substances comme le LSD, la psilocybine, le DMT, le 5-MeO-DMT, l’ibogaïne et la MDMA. Les résultats montrent que des variants dans les enzymes métabolisantes, comme le cytochrome P450 (CYP2D6), influencent l’intensité des effets aigus et suggèrent des ajustements posologiques pour certains profils génétiques. La revue propose des pistes pour intégrer la PGx dans les essais cliniques et les futures directives thérapeutiques.
Examiner le rôle des variations génétiques sur les effets des psychédéliques et évaluer l’utilité de la pharmacogénomique pour personnaliser les thérapies.
Revue systématique de la littérature portant sur les variants génétiques impliqués dans le métabolisme et les effets des psychédéliques.
- Les métaboliseurs pauvres (PM) de CYP2D6 présentent des effets plus longs et intenses pour le LSD et l’ibogaïne, suggérant une réduction de la dose.
- Les données sur la pharmacodynamique sont limitées mais indiquent un impact potentiel de certaines mutations.
- La pharmacogénomique pourrait optimiser la sécurité et l’efficacité des thérapies assistées par les psychédéliques.
L’inclusion de la pharmacogénomique dans les essais cliniques pourrait guider des recommandations posologiques personnalisées et améliorer les résultats thérapeutiques.
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