2C-B

Le 2C-B a été synthétisé pour la première fois en 1974 par Alexander Shulgin. Initialement utilisé dans des contextes thérapeutiques potentiels, il est rapidement devenu populaire comme drogue récréative. Il est particulièrement prisé dans les scènes rave et clubbing pour ses effets stimulant et hallucinogène, souvent comparés à une combinaison de MDMA et de LSD.

Bien que le 2C-B ait été exploré pour des utilisations thérapeutiques potentielles, il n’a actuellement aucun usage médical approuvé en raison de ses effets secondaires et de son potentiel d’abus.

• Effets à court terme : Euphorie, hallucinations, augmentation de l’alerte, sensations de chaleur et de picotement, stimulation sexuelle. La prise par voie nasale peut causer une sensation de brûlure désagréable.
• Effets à long terme : Risque de dépendance psychologique, troubles de l’humeur, anxiété, confusion, fatigue.
• Risques : Claustrophobie, contractions musculaires, psychose sévère, hallucinations intenses, nausées et vomissements, augmentation de la pression sanguine et du rythme cardiaque. Les surdoses peuvent être graves, surtout lorsqu’elles sont mélangées avec d’autres substances.

• États-Unis : Illégal, classé comme substance de l’annexe I.
• Canada : Illégal, classé sous les substances contrôlées.
• Royaume-Uni : Illégal, classé comme substance de classe A.
• Australie : Illégal, classé comme substance contrôlée.
• Nouvelle-Zélande : Illégal.
• Europe : La plupart des pays européens ont interdit le 2C-B sous leurs lois respectives sur les substances psychoactives.

Orale (comprimés, capsules) ou nasale (poudre). La durée des effets varie de 4 à 8 heures lorsqu’il est pris oralement, et de 2 à 4 heures lorsqu’il est insufflé.